La maladie de Parkinson touche plus de 160,000 patients en France, et le grand public connaît cette maladie principalement pour ses symptômes moteurs. Pourtant, les patients atteints de la maladie de Parkinson souffrent également de troubles dits « non-moteurs », affectant la mémoire ou le contrôle de certains comportement impulsifs. Actuellement, aucun médicament n’est capable de soulager ces troubles, ce qui motive le développement de nouvelles approches thérapeutiques pour améliorer la qualité de vie des patients. Le projet PKSTIM propose de tester, pour la première fois, l’utilisation d’une technique non-invasive de stimulation électrique du cerveau pour améliorer la mémoire dite « de travail » chez des patients atteints de la maladie de Parkinson. De plus, en utilisant la modélisation numérique neuro-électrique, le projet PKSTIM va évaluer l’efficacité potentielle de nouveaux signaux de stimulation qui pourraient maximiser l’efficacité clinique de la stimulation électrique non-invasive du cerveau.
L’objectif général de PKSTIM est donc d’améliorer la qualité de vie des patients atteints de la maladie de Parkinson, et de proposer une technologie innovante de stimulation non-invasive du cerveau qui pourrait également être utilisée dans d’autres maladies neurologiques.