Le 24 janvier 2013, nous avons pu assister à une conférence menée par Thierry Viéville, chercheur à l’INRIA. Son travail consiste à modéliser l’intelligence « mécanique » dans les systèmes artificiels et biologiques.
Le titre de la conférence s’intitule :
Calculer ou penser ?
Le but était de comprendre la différence entre le cerveau humain et un ordinateur.
L’ordinateur :
L’ordinateur est dénué de pensées, c’est donc une machine contrairement à l’être humain.
Nous avons pu apprendre par la suite, que le terme « serval » désignait les réseaux entre téléphones.
L’informatique est presque dans tous les métiers. Il est devenu omniprésent dans notre société. Par exemple, pour un chirurgien, il est essentiel de se faire guider et aider par une machine lors des opérations très difficiles que l’on peut effectuer par exemple sur le cerveau. Là encore, il existe une relation entre le cerveau et la machine.
Actuellement, dans le monde, il y a deux milliards d’ordinateurs !
Le cerveau :
Le cerveau est complexe, lent et aléatoire. Mais cependant il est plus rapide que notre corps.
Il existe une géographie de cet organe ; une partie s’occupe du langage, une autre du sens des phrases, encore une autre pour les gestes, etc.…
Dans le cerveau, il y a une géographie inversé, c’est-à-dire que la partie gauche du cerveau s’occupe de la partie droite du corps et inversement.
Certaines maladies, comme l’autisme, développe des incapacités mais en contrepartie de nouvelles aptitudes différentes des personnes saines. Par exemple, un autiste de saxe va pouvoir en deux secondes, compter sans se tromper, le nombre de personne se trouvant dans un amphithéâtre.
On peut également citer, certaines formes d’aveugles qui perçoivent les mouvements mais pas les objets.
Voici la silhouette d’une personne en mouvement aperçu par ce même type d’aveugle.
En conclusion de cette conférence, on peut dire que l’ordinateur et le cerveau ont tout les deux leurs avantages et leurs inconvénients et qu’avec les techniques actuelles, ils peuvent se compléter.
Réalisé par PALUMBO Andréa, SCHELLENBERGER Camille, NOUVEL Pauline, RE SALEN Camille
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Le 24 janvier 2013, nous avons pu assister à une conférence menée par Thierry Viéville, chercheur à l’INRIA. Son travail consiste à modéliser l’intelligence « mécanique » dans les systèmes artificiels et biologiques.
Le titre de la conférence s’intitule :
Calculer ou penser ?
Le but était de comprendre la différence entre le cerveau humain et un ordinateur.
L’ordinateur :
L’ordinateur est dénué de pensées, c’est donc une machine contrairement à l’être humain.
Nous avons pu apprendre par la suite, que le terme « serval » désignait les réseaux entre téléphones.
L’informatique est presque dans tous les métiers. Il est devenu omniprésent dans notre société. Par exemple, pour un chirurgien, il est essentiel de se faire guider et aider par une machine lors des opérations très difficiles que l’on peut effectuer par exemple sur le cerveau. Là encore, il existe une relation entre le cerveau et la machine.
Actuellement, dans le monde, il y a deux milliards d’ordinateurs !
Le cerveau :
Le cerveau est complexe, lent et aléatoire. Mais cependant il est plus rapide que notre corps.
Il existe une géographie de cet organe ; une partie s’occupe du langage, une autre du sens des phrases, encore une autre pour les gestes, etc.…
Dans le cerveau, il y a une géographie inversé, c’est-à-dire que la partie gauche du cerveau s’occupe de la partie droite du corps et inversement.
Certaines maladies, comme l’autisme, développe des incapacités mais en contrepartie de nouvelles aptitudes différentes des personnes saines. Par exemple, un autiste de saxe va pouvoir en deux secondes, compter sans se tromper, le nombre de personne se trouvant dans un amphithéâtre.
On peut également citer, certaines formes d’aveugles qui perçoivent les mouvements mais pas les objets.
Voici la silhouette d’une personne en mouvement aperçu par ce même type d’aveugle.
En conclusion de cette conférence, on peut dire que l’ordinateur et le cerveau ont tout les deux leurs avantages et leurs inconvénients et qu’avec les techniques actuelles, ils peuvent se compléter.
Réalisé par PALUMBO Andréa, SCHELLENBERGER Camille, NOUVEL Pauline, RE SALEN Camille